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La lumière au bout du tunnel
Enfin un petit créneau pour ce jeudi 20 Mai...il était temps, et bizarrement il n'y a personne à l'atterro à 13h quand j'arrive !
Les moutons ont bien fait leur travail et la clôture électrique est enlevée...
Au déco on arrive avec Patou, François et Christian, Domi et Pierre M sont en l'air...Domi se fait satelliser à 2300...direct, on décolle pendant qu'Alex arrive.
On grimpe quasiment tous dans le même thermique et à 1800 on s'écarte, chacun prenant son "coin"
François sent une bonne journée et à sorti la Futura neuve...
Domi, Christian et Patou sont déjà à 2000, je rame en dessous.
Finalement je tape 2000 qqs minutes plus tard...le ciel est limpide et on voit loin.
Par contre un énorme voile défigure le ciel...ça va tout casser s'tafaire !
Patou est devant et enroule avec un planeur
Je traverse l'Asse avec Patou et on file vers le Bars...je remonte à 1600, mais Patou est reparti vers le plateau derrière le déco retrouver les autres qui annoncent 2500...
Retour en mode survie jusqu'à la Mouthe où un petit zéro me permet de me maintenir entre 700 et 760 le temps de dériver sur la chapelle...je pose au terrain pendant que les autres terminent de grimper avant de filer vers Lure...mais demi-tour dans un air qui fait tomber du ciel et tout le monde rentre au terrain sous l'oeil affamé du Patou qui a les crocs.
Pendant ce temps là Jean et Pierre M essaient de reposer au déco...
Visiblement il y a embouteillage...
Antoine et Victor arrivé plus tard sont aussi de la partie...
Entre 1h et 2h30 de vol, jolie reprise avant un autre épisode merdique...ensuite c'est carnaval au déco et ça monte bien...y-a des ailes en l'air jusqu'à 20h
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Commentaires
2GérardDimanche 23 Mai 2021 à 10:14Cretinausores motorisés.. On sent qu'il y a du vécu
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Les derniers utilisateurs du site; surtout les voltigeurs; avant la récup de leurs bagnoles doivent remettre la rubalise qui délimite le déco svp.
Le revêtement herbeux est encore super fragile et les crétinosaures motorisés n'attendent que la place soit ouverte pour y exercer leurs passion de frustrés.